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17/01/2011 17:47
Ce nouveau bébé pourrait bénéficier d’un capital personnel,
2 – N’oubliez pas que Notre Dame a apparu à Petit Gilles BOUHOURS avec des larmes de sang. Ce sang c’est celui de ses bébés qui meurent de façon atroce dans la seing de sa mère par l’IVG . ce petit garçon que Marie a appelé « mon petit Jésus de la Terre « a été recu en audience par le Saint Père Pie XII.
Ses larmes vous interpellent. Que fais tu.
Alors, pour éviter la mort horrible de ces bébés par leurs mères, j’ai décidé de doter à la naissance, en France, chaque bébé qui naîtra, par l’adoption du Peuple français lui-même de la
Vous allez examiner cette loi en cliquant sur le lin ci-dessus :
Cette disposition doit faire l’objet d’un référendum Universel et Direct en France comme en U.E.
L’Union Européenne se rends coupable de discrimination car, pourquoi un Citoyen Européen d’Espagne, d’Italie, de Pologne devrait-il être traité différemment de celui de France.
attribué à la naissance pour assumer les frais de soins, études, logement, retraite dont le montant pourrait atteindre 50.000 € et versé au fur et à mesure sur justification des dépenses par un compte spécial ( à l’abri des spéculateurs et des fraudeurs) ; ces dispositions rentreraient en vigueur – selon la volonté Divine et uniquement Elle, indépendamment des actions ou de l’inaction de l’Eglise Catholique et des autres religions - à l’issue de cette Grande Procession à travers toute la France mais il faut une participation massive.
Pour la France cela représenterait à raison de 800.000 naissances + 220.000 avortements un budget annuel de 1.020.000 x 50.000 € = 51 Milliards € en 20 ans : 1010 Milliards € c’est à l’Etat de le prendre en charge.
Mais les cotisations sociales de maladie et vieillesse, prélevées sur les salaires parts patronales et salariées, au bout de 20 ans à 25 ans n’auraient plus lieux d’être puisque la personne qui a reçu le capital à la naissance possède son propre régime c'est-à-dire son fonds personnel.
Cependant les maladies comme le cancer qui nécessitent des soins coûteux doivent être pris en charge par la collectivité au-delà d’un certain seuil de dépenses
